Et si je vous disais que ces tenues peuvent aider à financer les études de futurs professionnels de la santé?...Le programme Making a Difference a déjà financé 37 bourses de 250 $ pour des étudiants en sciences de la santé
Au Canada, la mauvaise alimentation tue plus de gens que n’importe quel autre facteur de risque, y compris le tabac : près de 51 000 morts en 2013, d’après l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) de l’Université de Washington. Fin 2007, le ministre de la Santé de l’époque a créé un groupe d’experts pour élaborer un plan de réduction de la consommation de sodium
Voici le premier d’une série de trois articles sur divers enjeux déontologiques associés aux soins de fin de vie du point de vue du personnel infirmier
Elle parle fréquemment de l’image de la profession infirmière et de la nécessité de donner aux infirmières et infirmiers les moyens de changer la façon dont ils sont perçus. D’où est venue l’idée de cette organisation?
Est-ce seulement l’occasion de manger du gâteau et de publier un communiqué de presse?
Les résidents de l’unité de soins pour problèmes de mémoire ont des réactions encore plus intéressantes...Mais, de temps en temps, je découvre que quelques-uns d’entre eux se souviennent de Marilyn Bell
Ces 8 dernières années, Della Magnusson a travaillé avec quelque 80 femmes enceintes séropositives. Aucune n’a eu de bébé séropositif, ce qui atteste de la rigueur des soins qu’elles ont reçus à la Clinique Westside, une division de la Clinique communautaire de Saskatoon
(Hon., Ryerson), LLD (Hon., UWO) Voici le second article de notre série en trois parties sur les enjeux déontologiques de la fin de vie et leurs implications pour le personnel infirmier
Selon une autre étude canadienne, 20 % de tous les participants francophones en contexte linguistique minoritaire se privent de services de santé lorsque ceux-ci ne sont pas disponibles en français par peur de ne pas comprendre ou d’être mal compris (de Moissac et Bowen, 2018)
*Toggle link - English Soins de fin de vie